Le week-end dernier, j'étais à un festival près de chez moi. Ska-P: "Legalizacion, canabis de calidad y barrato"; Raggasonic: "Légalisez la ganja". Oui, le ton était donné.
Et puis, j'ai vu un p'tit sujet à la télé sur les salles de shoots. Hop, tous les éléments sont réunis pour que j'en parle.
Alors, on les autorise ou pas ces fameuses salles? Dans l'Edition Spéciale, ils sont allés à la rencontre des principaux intéressés: les consommateurs. Certains étaient contre, disant que ça encouragerait la consommation. Les autres pour, argumentant que, au moins, ils auraient des conditions d'hygiène décentes pour leurs shoots. Ca commence bien, si même les consommateurs sont pas d'accord!
Que ça incite à la consommation, j'en suis pas sûre. En revanche, que ça évite les hépatites et autres maladies, que ça permette un suivi médical, ça j'en suis convaincue. Sans oublier que se piquer dans la rue, c'est un risque pour les non-consommateurs également. Mettre le pied sur une seringue, c'est vite arrivé (mon frère en a fait l'expérience, et je peux vous dire que jusque à la fin des analyses de sang on est pas tranquille).
Après, je sais pas exactement comment ça fonctionnerait, je doute que les médecins fournissent les doses. Pourtant, ça pourrait sortir les consommateurs du deal dans lequel ils tombent souvent, pour se payer leur dose. Ca permettrait aussi d'avoir des drogues de "qualité", et d'établir progressivement un sevrage. Mais bon, je doute que la législation l'autorise.
Vous l'aurez compris, les salles de shoots, je suis pour.
Sinon, pour le côté personnel, rentrée en prépa concours éducatrice spécialisée, faite. "Intéressez-vous à l'actualité!" ok, pas de problème. Pour le moment, ça me plaît pas mal, à part les cours de français, très, trop scolaires. On nous pousse à réfléchir sur l'actualité, les questions sociales, nous-même et les expériences qu'on a pu vivre. Affaire à suivre...
Et puis, j'ai vu un p'tit sujet à la télé sur les salles de shoots. Hop, tous les éléments sont réunis pour que j'en parle.
Alors, on les autorise ou pas ces fameuses salles? Dans l'Edition Spéciale, ils sont allés à la rencontre des principaux intéressés: les consommateurs. Certains étaient contre, disant que ça encouragerait la consommation. Les autres pour, argumentant que, au moins, ils auraient des conditions d'hygiène décentes pour leurs shoots. Ca commence bien, si même les consommateurs sont pas d'accord!
Que ça incite à la consommation, j'en suis pas sûre. En revanche, que ça évite les hépatites et autres maladies, que ça permette un suivi médical, ça j'en suis convaincue. Sans oublier que se piquer dans la rue, c'est un risque pour les non-consommateurs également. Mettre le pied sur une seringue, c'est vite arrivé (mon frère en a fait l'expérience, et je peux vous dire que jusque à la fin des analyses de sang on est pas tranquille).
Après, je sais pas exactement comment ça fonctionnerait, je doute que les médecins fournissent les doses. Pourtant, ça pourrait sortir les consommateurs du deal dans lequel ils tombent souvent, pour se payer leur dose. Ca permettrait aussi d'avoir des drogues de "qualité", et d'établir progressivement un sevrage. Mais bon, je doute que la législation l'autorise.
Vous l'aurez compris, les salles de shoots, je suis pour.
Sinon, pour le côté personnel, rentrée en prépa concours éducatrice spécialisée, faite. "Intéressez-vous à l'actualité!" ok, pas de problème. Pour le moment, ça me plaît pas mal, à part les cours de français, très, trop scolaires. On nous pousse à réfléchir sur l'actualité, les questions sociales, nous-même et les expériences qu'on a pu vivre. Affaire à suivre...